26
nov.
2025

Bernard Werber et Vincent Baguian

Médiathèque Jean Falala

Début : 16h00
Fin : 17h30

Est-il plus facile d’écrire 500 pages qu’une chanson de 3 minutes ?

« C’est la musique qui a fabriqué le style du livre… je commence par sélectionner la musique… » ainsi débute le long entretien que Bernard Werber a eu avec Olivier Germain Thomas que l’on retrouve sur le double CD « L’éveilleur ». A la fin de ses livres on retrouve ainsi « les musiques écoutées durant l’écriture », beaucoup de classique, Debussy, Mozart, mais aussi Hans Zimmer et Ennio Morricone pour la musique de film tout autant que Dead Can Dance, Arvo Pärt, Brian Eno ou… Aerosmith. Sur scène dans son spectacle V.I.E (Voyage – Intérieur- Expérimental) qui sont des méditations il est accompagné de la harpiste Francoeur. Or il n’a fait que flirter, du bout des doigts avec le monde musical, un clip pour Maurane en 2000, une chanson : « La sage des gnous » co-écrite avec Louis Bertignac en 2005, une apparition sur l’Extraordinarium de Dionysos en 2023.

Dans les remerciements de son roman « Que celui qui n’a jamais tué me jette la première pierre » très fin et très drôle à la façon d’un Fab Caro, Vincent Baguian remercie du fond du cœur et en première ligne « Bernard Werber d’être l’ami idéal qui m’a donné l’impulsion magique. Et le titre ». Quatre albums au compteur, le conte musical « Sol en Cirque » avec Zazie, il est aussi derrière les comédies musicales « Mozart, l’opéra rock », « Mistinguett reine des années folles » ou encore « Le rouge et le noir ». Il est également le créateur d’Émile Titan héros de littérature jeunesse.

Avec ces deux-là, nous aurons – peut-être – une réponse à la question originelle.